Comment Dassault Systèmes a fait d’Adobe Stock sa plateforme de ressources visuelles à l’échelle mondiale

Comment homogénéiser le branding de marque lorsqu’on est présent à l’international avec 188 sites ? Grâce à des bibliothèques partagées à travers le monde, qui centralisent la mise à disposition de contenus issus d’Adobe Stock, Dassault Systèmes s’assure de maîtriser son image de marque quelle que soit l’activité marketing et communication.

La stratégie de branding d’une marque est d’abord le reflet de sa personnalité, de son identité et de son positionnement sur son marché. Dassault Systèmes l’a bien compris : si la marque bénéficie en France d’une solide reconnaissance, il lui manquait une vision consolidée de l’utilisation de sa charte graphique sur l’ensemble de ses implantations. « Nous avions un double enjeu », explique Nicolas Yeretzian, Creative Designer chez Dassault Systèmes, « celui de garantir la cohérence des visuels qui étaient utilisés par les collaborateurs à l’international, et celui de garantir le respect des licences accordées pour l’utilisation de ces visuels ».

Adobe Stock au cœur d’un design système pour partager les bonnes pratiques de branding

Dassault Systèmes édite des solutions logicielles spécialisées dans la modélisation 3D et l’ingénierie. Elle bénéficie d’une exposition internationale très forte : avec 188 sites dans le monde, elle s’appuie sur la force créative de 20 0000 collaborateurs, issus de 133 nationalités différentes. L’entreprise dispose de 12 marques, telles que Catia, et œuvre dans 11 industries, sur des sujets variés tels que la conception 3D, l’ingénierie, la CAO 3D, la modélisation, la simulation et la gestion des données et des processus.

Le groupe a mis en place un Creative Hub gérant une charte graphique accessible à tous ses collaborateurs. On y trouve l’ensemble des bonnes pratiques à adopter pour communiquer autour de ses marques mais aussi les actifs graphiques, les règles d’utilisation par type d’actif (image, rédactionnel, vidéo, etc.) « Adobe Stock est au cœur de ce hub : nous mutualisons en effet les ressources visuelles dans une licence fédérale mondiale, qui est gérée au siège mais qui donne accès, pour l’ensemble de nos sites, à des ressources visuelles validées et réutilisables à l’infini par les équipes », explique Nicolas Yeretzian.

Centraliser la gestion des visuels pour garantir la cohérence de la communication à l’internationale

Dans un premier temps, l’équipe interne du Creative Hub de Dassault Systèmes crée un catalogue de ressources visuelles sélectionnées dans Adobe Stock, qui rendent compte de la philosophie et des valeurs du groupe. Cette sélection répond à trois objectifs :

  1. Servir un but, tel que communiquer une idée, illustrer un concept, apporter une expérience émotionnelle autour de la marque plutôt que du produit.
  2. Illustrer un message clair.
  3. Engager l’audience.

Dans un second temps, l’équipe du Creative Hub crée autant de bibliothèques qu’il y a de marques et d’industries. Les collaborateurs peuvent d’eux-mêmes identifier des images ou des vidéos qui répondent à leurs attentes directement sur Adobe Stock. Ils partagent ensuite leurs besoins avec l’équipe, qui valide le choix iconographique ou réoriente la recherche pour s’assurer de la bonne cohérence avec la charte graphique du groupe. L’administration du compte reste pilotée par l’équipe Creative Hub, seul habilitée à acheter le visuel. Les bibliothèques s’enrichissent donc au fur et à mesure des besoins métiers. « Avec le temps, le besoin de recherche de nouveaux visuels réduit. L’objectif pour nous est de créer des librairies suffisamment riches pour que les équipes soient parfaitement autonomes et n’aient qu’à puiser dans notre design système », explique Claudia Marques, Responsable Branding chez Dassault Systèmes.

Des ressources illimitées, adaptées pour chaque marché et chaque zone géographique

Les bibliothèques sont mises à profit par les équipes pour les webinars, les formations ou les événements internes par exemple, aussi bien pour l’habillage graphique que pour la création des outils de communication autour de ces événements. La qualité des visuels avait été un des critères qui avait prévalu à la décision de standardiser Adobe Stock. Grâce à la richesse et la diversité de ses contenus, Adobe Stock répond aux besoins des différents marchés de Dassault Systèmes, en Europe, mais aussi en Asie et au Moyen-Orient. La plateforme permet aussi au groupe de faire évoluer son catalogue pour répondre aux tendances. « Actuellement, on enrichit nos bibliothèques de visuels sur la responsabilité environnementale, avec des images qui permettent de simuler la dépendance énergétique de nos entités, d’illustrer des chaînes de fabrication recyclables, etc. », explique Nicolas Yeretzian.

Le groupe tire aussi profit des filtres de recherche Adobe Stock, tels que l’orientation de l’image, l’espace disponible pour placer du texte, la profondeur de champs ou encore l’inclusion ou non de personnes dans l’image, pour accélérer et simplifier l’identification des meilleurs contenus. « La recherche dans Adobe Stock est déconcertante d’efficacité. On trouve des images correspondantes à partir d’un photomontage simple ou simplement en épinglant une série de visuels pour recentrer sa recherche. Cela représente un gain de production précieux pour nous : ça nous permet d’être créatifs et de nous concentrer sur des points plus importants que la recherche d’images » ajoute Nicolas Yeretzian.

Donner de l’autonomie aux collaborateurs tout en réduisant l’exposition au risque

Les bénéfices portent sur les contenus aussi bien que sur les gains de productivité et d’efficacité des équipes. L’objectif pour Dassault Systèmes était de :

« Les bénéfices apportés sont nombreux. Le gain de temps aussi bien pour l’équipe du Creative Hub que les collaborateurs est considérable. Nous avons une meilleure vision de ce qui est fait des visuels et nous pouvons garantir le bon respect de nos règles de branding. Cela nous permet également de mieux maîtriser nos coûts ainsi que notre exposition au risque sur le droit d’auteur » se réjouit Claudia Marques.